Jusqu'à il y a quelques années, se présenter à un processus de sélection de "Google" était une espèce de cauchemar pour les candidats, lesquels finissaient vidés en répondant aux questions du type : "Combien toucherait pour nettoyer toutes les fenêtres de la ville de London, ou "combien de balles de golf entrent-ils dans un autobus scolaire" ? .
Son système d'interview semblait "cool", et pour cela il a été copié par beaucoup de multinationales, inclus Wall Street, où probablement les entretiens d'embauche les plus durs de la planète se trouvent.
Laszlo Bock, Vice-président d'opérations de Google, a admis a la NewYork Times que ces questions sont une perte absolue du temps et qu'ils ne prédisent rien sur le candidat. "Ils servent uniquement pour que l'interviewer se sente plus intelligent".
C'est par cela que la technique de la sélection que maintenant Google utilise ce seraient les entretiens d'embauche conductibles dans celles qui sont demandées au candidat de mettre des exemples de comment il a joué le rôle dans une situation similaire à laquelle on lui expose. Déjà questions hypothétiques ne sont pas posées, si non une situation particulière que probablement le candidat a vécue.
Selon Bock, l'interview conductiblesl offre deux types d'information : La première est de connaître comment les candidats ont interagi dans le monde réel devant une situation réelle. La deuxième est d'obtenir une information sur ce que le candidat considère facile et difficile, ainsi que vérifier dans quel terrain il montre plus une sécurité.
Sans oublier que plusieurs de ces situations sont idéales pour savoir la capacité de leadership du candidat, une condition requise chaque fois plus grande dans les entreprises.
A partir de maintenant, si tu vas à un entretien d'embauche et ils te demandent combien de balles de golf entrent dans un autobus scolaire, et déjà pratiquement légal de répondre : "Puisque la vérité consiste en ce que je n'ai jamais été si ennuyé comme pour mettre à les raconter".
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