6 jeux mentaux que les recruteurs emploient durant les entretiens d'embauche. La méthode Murphy.

La méthode de Mark Murphy est déjà arrivée dans tous les entretiens,  c'est une question du temps que les techniques de ce préparateur de "chasse des attitudes" chez les candidats, cette méthode est employé par les recruteurs dans les entreprises . Murphy est auteur de différents livres, tous mis au point à la même thématique, qui est d'aider les recruteurs à travers de l'interview à détecter les meilleures attitudes. Son dernier livre "Hiring for Attitude" (la contratation de l'attitude) révèle certains des jeux mentaux que les recruteurs doivent employer pour deviner juste dans l'engagement.Personnellement je ne suis pas partisan de ces méthodes, mais c'est sur que tu la trouvera probablement dans les proches entretiens d'embauche. Donc ici vont certains de ces jeux mentaux:

1. Créer un silence inconfortable. 

Pour Murphy, le fait de ce qu'une personne va à un entretien d'embauche c'est de générer un stress, par ce qu'il veut combiner ce stress avec un peu d'un ennui ajouté, l'ennui qui a l'habitude de se produire avec un silence inconfortable, puisque le candidat devra chercher la forme de recommencer à diriger l'interview. Selon Murphy, quand les personnes font front à un silence inconfortable, ils commencent à parler sans cesse, cette situation mérite la peine s'il provoque les faits que le recruteur cherchait.

2. Des questions spécifiques de ton chef au commencement de l'interview. 

Murphy conseille de générer cette situation : Imaginez qu'en entrant dans la salle, l'interviewer te demande : "Comment se nommait ton chef ? C'est bien passé avec lui ?." 
Avec cela on obtient que le candidat capte l'idée de ce que le recruteur va appeler ton chef oui ou oui, par ce que si tu as eu un problème avec lui, en sachant qu'il va l'appeler, dans un haut pourcentage des cas le candidat n'est pas capable de se contenir et il s'ouvre aux problèmes qu'il a eus avec son chef. Murphy conseille aussi insinuer que tu as déjà parlé à son ex-chef avant de votre arrivé . Peut-être pour si tu savais qu'il n'est pas bien de parler mal de ton ancien chef durant un entretien d'embauche.

3. Des questionnes peu spécifiques. 

Si un recruteur te demande de décrire un moment dans lequel tu as fait front à une difficile situation, mais il ne te demande pas de raconter comment tu l'as fait pour le résoudre, avec ta réponse tu décriras si tu es un porteur du problème ou un porteur de la solution au problème, par ce que cette question s'emploie à révéler l'attitude réelle du candidat. ....Attention.

4. Analyser l'usage de pronoms. 

Employer "Je" n'a jamais été bien vu. "quand j'ai été dans l'entreprise j'ai fait.... J'ai analysé". Bien qu'il faut éviter d'user Je, on a l'habitude d'apprécier le fait d'user nous. "Quand j'ai été dans l'entreprise analysé pour que nous pussions arriver à ... nous avons été la première entreprise que ....".  Murphy conseille pour cela faire une trappe, avec questions du type : "Et tu (ou vous) que tu as fait pour .... ?" en te forçant à dire "Puisque je ....".

5. L'usage d'adverbes. 

Murphy assure que les personnes de haut rendement n'ont pas l'habitude d'orner des phrases avec des adverbes superflus. ses réponses sont directes. Il dit que quand vous ornent certaines phrases, C'est parce que la phrase pour elle-même ne parlera pas suffisant de soi-même pour si seul Un exemple : Si votre couple ne te donne jamais plus d'explications des les nécessaires et un jour, devant la question : "D'où viens-tu ?, ce jour raconte où il a été, qui a vu ce qui l'a raconté ce qui a acheté et l'anecdote avec l'employée, t'a probablement mis mes cornes :-), mais tranquille, ce n'est pas une science exacte. 

6. Les mots "toujours" et "jamais".

Murphy pense que les personnes qui emploient  les mots "toujours" et "jamais" , ont l'habitude d'être personnes de bas rendement ou très peu honnêtes. "Ils ne faisaient jamais bien les choses dans le département" (des fois  les feraient bien) et "toujours 'ils demandaient mon aide" (dans certains occasion ils les régleraient seuls). Pour Murphy, ces mots reflètent aussi beaucoup d'insécurité dans les propres capacités.